L’Abandon
L’Abandon examine par la photographie argentique, différente
gestuelle du corps entremêlé à un territoire. Dans une tentative
de réappropriation d’une certaine part du lieu, les images figurent une forme
de rêve éveillé et d’entrée dans l’imagination de paysages ruraux. Les pieds et
les mains s’assemblent dans les mises en scène. Le rôle du bas blanc utilisé
amplifie et dégage un certain inconfort. L’Abandon s’immerge tout simplement à un monde
fantastique si proche et si distant à la fois, car il vous est familier.